A la télévision, dans la presse spécialisée ou généraliste, il est de plus en plus fréquent d’entendre que nous avons un problème avec les retraites. Que notre système n’est plus adapté voir même qu’il est en faillite ! Mais dans la pratique, quel est le problème ?
Avant de voir le problème et les solutions possibles, revenons sur l’origine de notre système de retraite actuel.
Notre système de retraite actuel se fonde sur un système dit de répartition. Il est né peu après la seconde guerre mondiale. Son fonctionnement est simple : une large base de travailleurs actifs cotisant pour financer les retraites. Cette équation était sans faille et pérenne puisqu’à l’époque, il existait environ quatre actifs pour un retraité. Oui mais voilà. Avec le temps, ce ratio n’a eu de cesse de se détériorer.
L’allongement de la vie est la principale cause de ce déséquilibre.
Depuis 70 ans, notre société a connu des bouleversements et des avancés dans tous les domaines : social avec la diminution du temps de travail par exemple, médical dans le soin et le traitement des maladies, sans oublier le bond technologique que nous avons connu. Toutes ces avancées ont permis, entre autres, une chose qui vient perturber grandement l’équilibre de cette belle équation : l’allongement de la vie
En effet, selon l’INSEE, en 1950 l’espérance de vie moyenne (Homme et Femme confondus) était de 66 ans. En 2009, nous sommes passés à 81 ans soit une augmentation de presque 15 ans en 60 ans. De plus, ce déséquilibre ne cesse de s’accentuer et l’arrivée de nouveaux retraités fait pencher la balance trop lourdement dans les dépenses. Le pic sera même atteint entre 2006 et 2035 avec l’arrivée de la génération dite du baby-boom (1946 – 1975). Nous sommes en plein dedans.
Le Conseil d’Orientation des Retraites a tiré la sonnette d’alarme pour inciter les différents gouvernements à reformer pour trouver des pistes pour financer les dépenses et tenter de pérenniser le système actuel.
Les pistes sont nombreuses :
- Recul de l’âge de départ en retraite. Cela aura pour conséquence d’augmenter la durée de cotisation. Nous sommes déjà passé de 60 à 62 ans et prochainement à 65 ans peut être.
- Augmentation du taux de cotisation
- Ne plus indexer les retraites sur l’inflation mais sur un indice spécial.
- Diminution du taux de remplacement au jour du départ en retraite.
Le constat est sans appel. Si l’on veut pérenniser notre système actuel, des sacrifices sont obligatoires.
Afin de ne pas se retrouver dépourvu au moment du départ à la retraite, il est nécessaire pour ne pas dire obligatoire de se constituer un patrimoine afin de pouvoir compléter ses revenus et ainsi maintenir son niveau de vie.
Au moment de sa création, ce système était le régime principal pour assurer sa retraite. Aujourd’hui, on se rend compte qu’il s’agit d’un minimum qu’il faut absolument compléter si le jeune retraité ne veut pas subir un déclassement social au moment de son départ en retraite.
Les pistes sont nombreuses pour se constituer un capital mais la plus intéressante est celle qui consiste à se créer un patrimoine capable de verser à vie des revenus complémentaires et ainsi ne jamais entamer le capital constituer. Cette piste est celle de l’investissement immobilier locatif.
Mais attention, plutôt que d’opter sur l’achat d’un appartement en direct ou la gestion du locataire peut s’avérer très compliqué avec des frais et des charges non maitrisées, il est préférable d’opter pour un investissement en parts de SCPI (Société Civile de placement Immobilier). La SCPI est une société agréée par l’Autorité des Marché Financier qui collecte des fonds auprès d’investisseurs particuliers et avec, elle achète de l’immobilier locatif tertiaire que la SCPI va gérer, entretenir et valoriser. Ensuite au prorata de son investissement, la SCPI va reverser un rendement net de charge à l’investisseur assimilable à un revenu locatif.
S’agissant d’un investissement immobilier, il est possible d’acheter des parts de SCPI à l’aide d’un crédit immobilier. L’intérêt réside dans le fait que les échéances du prêt sont financées en grande partie par les loyers encaissés. Pendant la période de financement, l’investisseur ne s’occupe de rien puisque tout est géré par la société de gestion. Au terme du financement, le patrimoine est intégralement payé et le propriétaire perçoit ainsi des revenus complémentaires à vie.
Comme souvent, il ne faut pas agir sans les conseils avisés d’un professionnel expert en la matière. En France, le spécialiste de la SCPI est La Centrale des SCPI. Véritable plateforme de distribution indépendante, ses experts reconnus vous accompagnerons au mieux pour bâtir votre projet d’investissement et ainsi résoudre votre problème de retraite. Vous pouvez les contacter via leur site internet https://www.centraledesscpi.com/ , par téléphone au 01 44 56 00 23 ou en vous rendant dans leur boutique dédiée à la SCPI en plein centre de Paris, au 15 rue Saint Roch 75001 PARIS
Avertissement
L’investissement dans une SCPI n’est pas garanti, tant du point de vue des dividendes perçus que de celui de la préservation du capital. Les SCPI dépendent en effet des fluctuations des marchés immobiliers.
Avant toute décision d’achat de parts de SCPI, faites-vous conseiller par un professionnel afin d’être certain(e) que ce placement correspond à votre profil patrimonial.
Enfin, comme tout investissement immobilier, tenez compte du fait que les SCPI sont des placements de long terme dont la durée de détention minimale ne saurait être inférieure à huit ans.
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